Le court-métrage Walka ou les combats nocturnes

Le court-métrage Walka ou les combats nocturnes



Walka , court-métrage réalisé par les Rennais Sacha Arethura et Pierre Le Guen , est projeté au cinéma Arvor vendredi 28 février 2025. Inspiré d’une histoire vraie, il retrace l’histoire de Piotr, un jeune émigré polonais plongé dans un monde de combats nocturnes après avoir accepté la proposition de Stefano, un collègue intérimaire imposant.

Sacha Arethura et Pierre Le Guen commencent à écrire le scénario de Walka ! en 2020, alors qu’ils sont étudiants en arts du spectacle à l’ université Rennes 2. « Je travaillais dans une boîte d’intérim et un jour, mon responsable m’a proposé de participer à des combats clandestins, c’est de là qu’est partie l’idée du film » , raconte Pierre. " WALKA ! " en polonais peut se traduire par : " Bats-toi ! “, c’est une injonction que l’on reçoit et que l’on donne à soi-même. Ce terme, Sacha l’a appris lors d’un voyage au lycée : « La Pologne a été une découverte culturelle incroyable, notamment la langue dont j’ai pu apprendre quelques mots. » Si le scénario a été écrit à deux, Sacha est à la réalisation et Pierre, formé trois ans au cours Simon, joue le rôle du personnage principal, Piotr.

Pierre Le Guen à gauche, Sacha Arethura à droite

Le tournage à Rennes commence en octobre 2020, en autoproduction. Plusieurs personnalités se sont prêté au jeu comme les acteurs Vincent Tirel , Stéphane Leclercq et Thierry Desroses , célèbre voix française de Samuel L. Jackson. « Nous avons fait marcher nos contacts et nous avons eu beaucoup de chance de recevoir autant de participation pour un film autoproduit ! », explique Sacha. L’artiste rennais Lowdy Williams , en collaboration avec la rappeuse polonaise Ryfa Ri , a aussi mis sa pierre à l’édifice avec un morceau composé pour l’occasion : Walka !

Le projet est néanmoins rapidement ralenti par la Covid. C’est après quatre ans de longs efforts que le réalisateur termine le film, soutenu par de nombreux partenaires locaux comme La Région Bretagne, le Crous, Rennes Métropole ou le 4bis. « Quatre ans c’est long… Les confinements ont freiné le tournage, mais c’est surtout le planning qui fût compliqué à mettre en place en fonction des disponibilités de chaque bénévole » , souligne Sacha. __ Plus techniquement, ce sont de longues périodes d’attente pour réaliser les effets spéciaux, la 3D ou recevoir des droits, notamment celui d’une chanson de Charles Aznavour. Une fois la version finale dans la boite, Walka ! a été proposé dans plusieurs festivals cette année.

https://youtu.be/cqHrF8Qqtuo?si=3P5QlWWsQZ-BWQ3B

Première production, **Walka ! **retient l’attention notamment avec la qualité de sa photographie et le jeu de Pierre, qui a bénéficié de l’aide de trois interprètes polonaises afin de travailler l’accent du personnage. Le court-métrage a été projeté en avant-première au cinéma Arvor samedi 9 novembre, une aubaine pour Sacha : « Diffusé en avant-première mon film dans cette salle mythique de Rennes, c’est un peu un cadeau. C’est dans cette ville que tout a commencé, que le film s’est écrit et tourné, il semblait naturel de le partager aux Rennais.ses. »

Walka ! , cinéma Arvor le samedi 28 février, 19h. Durée : 45 minutes

Cinéma Arvor
11 rue de Châtillon
35000 Rennes.

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Rennes. Comptoir du doc déroule le festival Ré-Elles du 9 au 16 mars 2025

L’association Comptoir du Doc invite à la 22e édition du festival Ré.Elles du 9 au 16 mars 2025, en partenariat avec Les Champs Libres. Entre projections, rencontres et débats, cet événement met à l’honneur le cinéma documentaire et les droits des femmes, avec un objectif clair : faire entendre les voix trop souvent marginalisées et inverser le rapport de force.

Soutenu par la Ville de Rennes , le Festival Ré.Elles , anciennement Docs aux Féminin, célèbre le cinéma documentaire tout en résonnant avec les multiples facettes des luttes féministes : « Ce nouveau nom est plus explicite et il fait un clin d’oeil à l’écriture inclusive et à toutes les “elles” qui sont dans le spectre du féminisme », confie Natalia Gómez-Carvajal qui est chargée de la programmation du festival.

La sélection des films de la programmation est le resultat de longues recherches de Natalia, notamment en assistant à des festivals et en échangeant avec des sociétés de production. Les adhérents de l’association prennent ensuite le relais en intégrant les comités de sélection. « Notre objectif avant tout, c’est de vulgariser le cinéma documentaire pour le partager au plus grand nombre. Ainsi, il est important d’avoir plusieurs profils et pas seulement des cinéphiles qui sont très calés. » Cette diversité enrichit le dialogue entre différentes perceptions et sensibilités. Le documentaire, quant à lui, explore une pluralité de formes narratives, oscillant entre tradition et singularité, avec une empreinte à la fois intime et universelle.

Le festival donne de la visibilité à des documentaires qui ne passent qu’une fois à la télévision et qui n’ont ainsi pas toujours la chance d’être suffisamment reconnus. Il n’y a pas forcément de thématique, le souhait est avant tout de montrer plusieurs visions du féminisme, de dénoncer les discriminations et les violences de genres qui se perpétuent. Garder une certaine cohérence entre les documentaires sélectionnés est parfois intéressant pour créer des parallèles dans les discussions et les débats.

Les sirenes de Dieppe

Une programmation universelle et puissante

Les festivités commencent avec la projection de _Si c’est ça le destin _de Helga Reidemeister dimanche 9 mars au FRAC Bretagne. La protagoniste est Irene Rakowitz et la réalisatrice suit ses conflits avec ses filles, avec son ex-mari. C’est un documentaire vrai et brut, dans lequel le spectateur est amené à s’interroger sur la question de déterminisme. Mardi 10 mars, au cinéma Arvor , vous pourrez découvrir _Bye Bye Tibériade _de Lina Soualem. L’histoire de Hiam Abbass qui quitte son village palestinien, laissant sa famille derrière elle, pour réaliser son rêve d’être actrice en Europe. Elle revient sur ses pas trente ans plus tard avec sa fille, à la découverte des générations de femmes qui l’ont précédée. Il s’agit par ailleurs de la seule séance payante du festival.

Nicole Zeizig , réalisatrice du documentaire Les Silencieuses , sera à la bibliothèque Lucien Rose mercredi 12 mars à 18h30 pour assister à la diffusion et échanger avec le public. Elle donne la place et le moyen de s’exprimer à des femmes faisant partie d’une minorité invisible. Les comédiennes sont sourdes ou malentendantes, elles n’ont pas d’enfant, par choix ou non, et communiquent par le corps et la voix pour enfin être entendues. Le débat qui suit la projection sera traduit en langue des signes.

https://www.unidivers.fr/nicole-zeizig-les-silencieuses/

Samedi 15 mars, **Trans Memoria **de Victoria Verseau et Les Sirènes de Dieppe de Nicolas Engels et Nicolas Birkenstock apporteront un regard commun sur la transidentité. Trans Memoria , c’est l’histoire de Victoria qui s’interroge sur sa transition et sur ce qui la définit en tant que femme. À travers le deuil qu’elle doit faire de son amie, elle retourne en Thaïlande, où elle s’était fait opérer avec cette amie et entame un double voyage, au sens propre, mais également un voyage dans le temps. Cette histoire, pourtant personnelle, parle à un public universel qui se questionne sur la quête de nos rêves les plus fous et le sentiment qui découle de leur réalisation. Les Sirènes de Dieppe apporte une note un peu plus joyeuse et festive. Sous l’ambiance festive et colorée d’un cabaret à Dieppe se cache une réflexion plus profonde qui s’articule autour de luttes et de résistances contre les violences multiples. La projection du documentaire sera suivie d’un temps d’échange avec les deux cinéastes.

Pour clôturer ce riche après-midi, l’écoute collective du documentaire sonore Le Chien dans la maison de Pauline Nulle Part sur les travailleuses du sexe est prévue au Café des Gallets.

https://youtu.be/_TNVmAcAKEM

Le festival se termine dimanche 16 mars avec deux projections qui invitent le spectateur à découvrir une autre culture, à s’ouvrir au monde autour de thématiques toujours aussi universelles. Le premier documentaire est Les Miennes de Samira El Mouzghibati. La réalisatrice met en avant les conflits intergénérationnels et les femmes musulmanes qui quittent parfois leur pays d’origine avec leurs enfants pour aller en Europe et se retrouvent confrontées à des chocs culturels. La réalisatrice sera présente pour échanger avec le public. Ma Planète volée de Farahnaz Sharifi , c’est le récit d’une vie après la révolution iranienne et l’arrivée de l’Etat islamique qui opère une scission entre l’intime et la vie publique. La réalisatrice met en dialogue ses archives personnelles qui retracent son enfance en Iran et des archives de familles en exil pour raconter une autre histoire de son pays, touchante et authentique.

Par ailleurs, plusieurs courts-métrages seront projetés lors du festival jeudi 13 mars. L’un d’eux se verra décerner le Prix Jeune Public Ré.Elles , remis vendredi 14 mars par les élèves des classes d’horlogerie du lycée Jean Jaurès.

Infos pratiques :

Si c’est ça le destin , Helga Reidemeister : dimanche 9 mars à 16h au FRAC (19 avenue André Mussat), Rencontre avec la programmatrice de la Cinémathèque du Documentaire à la BPI, Marion Bonneau. Gratuit

Bye Bye Tibériade , Lina Soualem : lundi 10 mars à 20h15 au Cinéma Arvor (11 rue de Chatillon). Payant

Jeudi 13 mars : Séance courts-métrages de 19h à 22h30 au Musée des Beaux-Arts. Gratuit

Les Silencieuses , Nicole Zeizig : mercredi 12 mars à 18h30 à la Bibliothèque Lucien Rose (11 Square Lucien Rose), Débat avec la réalisatrice traduit en langue des signes. Gratuit

Trans Memoria , Victoria Verseau : samedi 15 mars à 14h30 à l’auditorium des Champs Libres. Gratuit. Public averti.

Les sirènes de Dieppe , Nicolas Engels et Nicolas Birkenstock : samedi 15 mars à 17h à l’auditorium des Champs Libres. Rencontre avec les deux cinéastes. Gratuit. Public averti.

Les Miennes , Samira El Mouzghibati : dimanche 16 mars à 14h30 à l’auditorium des Champs Libres. Rencontre avec la réalisatrice. Gratuit.

Ma planète volée , Farahnaz Sharifi : dimanche 16 mars à 17h à l’auditorium des Champs Libres. Rencontre avec les distributeurs. Gratuit.

Programmation complète

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Rennes. le Festival Sard met à l’honneur du cinéma palestinien

Le Festival Sard revient à Rennes pour sa troisième édition du 24 au 30 mars 2025. Porté par l’ association Salam , il célèbre le cinéma palestinien à travers une sélection de films variés.

Depuis maintenant trois ans, la ville de Rennes accueille cet événement à l’ouverture internationale pour favoriser la diffusion de la culture palestinienne, le débat et les échanges. Plusieurs lieux emblématiques de la ville accueilleront le festival et sa riche programmation.

Le cinéma palestinien mis à l’honneur

Le festival met cette année à l’honneur le cinéaste gazaoui Rashid Masharawi. Il ouvrira le festival lundi 24 mars avec une Masterclass animée par Hussam Hindi , chargé de cours à l’Université Rennes 2. Cette Masterclass sera suivie de la projection de L’anniversaire de Leïla , une comédie de Rashid Masharawi sortie en 2009, dans laquelle un ancien juge devenu chauffeur de taxi se retrouve pris au piège dans un long et périlleux chemin pour rentrer chez lui alors qu’il voulait fêter l’anniversaire de sa fille.

Quatre autres films de Rashid Masharawi seront programmés tout au long du festival. Attente est un drame qui plonge le spectateur au cœur de la vie d’Ahmad, réalisateur palestinien qui entreprend sa dernière mission avant de partir définitivement s’installer à l’étranger. L’objectif de sa mission est d’organiser des auditions dans les camps de réfugiés palestiniens pour trouver ceux qui constitueront la troupe de théâtre nationale. Couvre-Feu , sorti en 1994, est l’un des premiers films du réalisateur. Le réalisateur suit le quotidien d’une famille dans un camp palestinien sous le couvre-feu. Puis, Journal de la rue Gabrielle , sorti en 2021. Le réalisateur met en avant le parallèle déconcertant entre son quotidien parisien pendant le confinement en 2020 et ses souvenirs à Gaza. Enfin, l’avant-première de ** Songe** de Rashid Masharawi clôturera le festival dimanche 30 mars à 18h30. La séance sera suivie d’une rencontre et d’un cocktail de clôture.

Attente
Attente Bande-annonce VO

Le cinéma comme instrument de mémoire et d’expression

Le réalisateur, déjà bien expérimenté, est également à l’initiative de l’un des projets qui sera présenté : From Ground Zero (28 mars 2025, 20h30, cinéma TNB). L’idée a germé dans sa tête quelque temps après les représailles qui ont suivi le 7 octobre 2023. Il a alors fait appel à des femmes et des hommes du milieu culturel pour sauver les histoires de la bande de Gaza. Toutes ces personnes, qu’elles soient photographes, chorégraphes ou encore acteur.ice.s, en sont ici à leur premier projet cinéma. Les conditions de tournage étaient loin d’être idéales, mais la volonté de créer une œuvre percutante, capable de révéler au monde la réalité de ce quotidien, a primé. Ce collectif propose une série de documentaires qui témoignent du quotidien des Palestiniens face à cette violence qu’ils traversent depuis des mois. À travers ces récits poignants, il s’attache à documenter leur réalité, à sensibiliser le public et à préserver une mémoire essentielle.

https://www.unidivers.fr/from-ground-zero-rashid-masharawi-gaza/

D’autres réalisateurs palestiniens seront mis à l’honneur. Amours, larcins et autres complications de Muayad Alayan sera projeté à l’Arvor mercredi 26 à 18h30. Ce thriller sorti en 2015 est assez poignant : Mousa vole une voiture, pensant pouvoir la revendre facilement dans son camp de réfugiés palestinien. Mais il découvre un soldat israélien kidnappé dans le coffre. Alors qu’il rêve de fuir Israël pour échapper à une histoire d’amour toxique, il se retrouve traqué par la police et les milices, pris dans un piège bien plus grand que lui. Mahdi Fleifel sera quant à lui présent à l’Arvor pour une discussion après la séance de _ Vers un pays inconnu_ : Chatila et Reda, deux cousins palestiniens réfugiés à Athènes, enchaînent les combines pour obtenir de faux passeports et rejoindre l’Allemagne. Mais cette quête les pousse à dépasser leurs limites, sacrifiant une part d’eux-mêmes pour un avenir incertain.

Le vendredi 28 mars, une journée professionnelle avec des tables rondes et des débats est prévue. À 10h au TNB, un échange sur la production du cinéma en Palestine avec deux cinéastes palestiniens mais également Zoé Peyssonnerie de Bretagne Cinéma qui présentera les fonds d’aide au co-développement international et des producteurs et productrices. À 14h, une table ronde est organisée pour discuter autour de la programmation du cinéma palestinien en France. Enfin, la journée se terminera avec une seconde table ronde se focalisera sur les conditions de tournage en temps de guerre et d’occupation. Pour assister aux différents temps forts de cette journée, une réservation par mail est nécessaire : festivalsard@gmail.com

Des ateliers gratuits de langue, danse, calligraphie et cuisine offriront au public une immersion conviviale dans la culture palestinienne. Les réservations sont également possibles par mail : festivalsard@gmail.com .

Programmation complète

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Que faire à Rennes ce weekend ? Idées de sorties !

Que réserve le weekend du 7au 9 mars aux Rennais ? Au milieu de la profusion d’événements organisés ce weekend à Rennes, retrouvez la sélection hebdomadaire d’Unidivers ! Payant ou gratuit, pour petits et grands, en intérieur ou en extérieur, à vous de choisir ce qui vous plaira…

Musique entres deux mondes : Amérique(s), Opéra de Rennes , vendredi 07 mars à 19h et 21h

L Opéra de Rennes et le Conservatoire de Rennes présentent le concert Musique entre deux mondes : Amériqu e S. À travers des œuvres captivantes de compositeurs latino-américains et nord-américains, l’Orchestre symphonique transporte un voyage fascinant entre tradition et modernité, rythmes populaires et compositions contemporaines.

En prélude, Yanaël Tamby présente pour la première fois Les pleurs de la nature , une fantaisie lyrique en un acte. Cette création pour un ensemble de musique de chambre et chœur a été conçue en résonance avec des illustrations et films d’animation imaginés par Jasper Goujon.

Infos pratiques : Opéra de Rennes. Place de la Mairie, Rennes. Billetterie

Soirée Rennes de la nuit : L.U.T.T.E.R. , MJC Le Grand Cordel , vendredi 07/03 - Gratuit

En partenariat avec le dispositif Rennes de la Nuit , l’Agrafe et Le Trombone , Le Grand Cordel accueille, de 19h à 00h, une soirée organisée par Le Pilli-Collectif , L’ Arène Théâtre et l’ ASCREB. Au programme : ateliers, spectacle immersif sur la Commune de Paris et concert de musique électronique. Un bar (sans alcool) et une restauration seront disponibles sur place. L’entrée est libre, dans la limite de la jauge.

Infos pratiques : MJC Le Grand Cordel. 18 rue des Plantes, Rennes.

Revers | Projection et master class carte blanche à Maria Kourkouta , vendredi 7 et samedi 8 mars

Dans le cadre de Revers , l’association Comptoir du doc et le cinéma Arvor accueillent la réalisatrice, monteuse et productrice Maria Kourkouta. Dans cette carte blanche, elle a choisi, pour accompagner une sélection de ses propres films, de programmer deux films de la cinéaste grecque Eva Stefani qui donnent à voir eux portraits de solitudes populaires au cœur de la ville : La Boîte et Quelle heure est-il ? . À savoir que ces derniers __ seront projetés en anglais avec des sous-titres anglais tandis que ceux de Maria Kourkouta seront sous-titrés en français. (Plus d’info )

Samedi 8 mars à 14h, Maria Kourkouta animera également la master class “Démontage - La fabrique des films de Maria Kourkouta”. Gratuit sur inscription

Infos pratiques : Cinéma Arvor. 5D Rue de Châtillon, Rennes.

Brocante Antiquités de Dubalai Débarras , samedi 8 et dimanche 9 mars

Si votre petite plaisir est de flâner de stand en stand : l’entreprise rennaise Dubalai Débarras ouvre son entrepôt pour sa grande vente mensuelle. Devant vos yeux, 300m2 d’antiquités brocante : des objets anciens et décoratifs au mobilier XXe siècle en passant par celui d’époque ou de style, vous ne saurez plus où donner de la tête entre les luminaires, l’argenterie, la verrerie ou encore les livres et vinyles. Vous l’avez compris, il y en aura de toutes les époques et pour tous les goûts.

Infos pratiques : Dubalais Débarras. 10 rue de la Retardais, Rennes.

Visite guidée “Trois femmes qui ont marqué l’histoire du numérique”, Musée des Transmissions, Cesson-Sévigné, 8 mars à 14h30 - Gratuit

Dans le cadre de la Journée Internationale des droits des femmes (programme du mois de mars à Rennes ), le musée des Transmissions , à Cesson-Sévigné, met en avant trois pionnières de l’Informatique, trois femmes qui ont façonné l’histoire de la technologie :

  • -Première programmeuse au monde, Ada Lovelace (1815-1852) a écrit le premier algorithme pour une machine, visionnaire de l’ère informatique.
  • -Pionnière française, Alice Recoque (1929-2021) qui a contribué au développement du Mitra 15, premier mini-ordinateur français.
  • -Frances Allen (1932-2020) fut la première femme à recevoir le prix Turing. Elle a révolutionné l’optimisation des compilateurs.

Infos pratiques : 6 avenue de la Boulais, 35510 Cesson-Sévigné, France

Portrait de Ada Lovelace, peinte Alfred Edward Chalon

Atelier “Respiration, aisance et puissance vocale”, Jardin Moderne, samedi 8/ de 14h15 à 17h30 - 15€/35€

Professeure de technique vocale, chant clair et saturé, Laetitia Jehanno propose, dans cet atelier, de découvrir les fondamentaux et piliers de la technique vocale afin de mieux gérer les efforts vocaux. Ouvert à toutes et tous, aux personnes débutantes et confirmées (à partir de 14 ans), il sera consacré au travail sur la respiration, la résonance, les aiguës et la puissance vocale. Le matériel requis ? Rien d’autre que des vêtements amples et confortables.

Infos pratiques : Le Jardin Moderne, 11 rue du Manoir de Servigné, Rennes. Billetterie

© Camille Le Guellec

Repas tchèque au café associatif des Gallets, samedi 8/03 à 19h - 10€/14 €

Geneviève et Ilona de la ferme des Gallets proposent une soirée aux saveurs et aux couleurs de la République tchèque. Dans vos assiettes : soupe d’hiver, knödles fourrés de viande de porc fumée accompagnés de choux et pomme au four. Pour que les saveurs tchèques soient totales, le café associatif vendra aussi des bières tchèques en bouteille. À savoir que le café peut vendre de l’alcool uniquement à ses adhérent·e·s, alors pensez à adhérer pour l’année civile 2025.

Attention les places sont limitées. Tarifs sur réservation : Comptez 14€ pour le repas adulte et 10€ pour le repas enfant.

Infos pratiques : Ferme des Gallets, 26 av Pierre Donzelot, 35700 Rennes.

Vernissage Mélissa Follet , Le MUR de Rennes , dimanche 9 mars à 16h - Gratuit

Samedi 8 et dimanche 9 mars, la Rennaise Mélissa Follet sera la 43e artiste à recouvrir Le MUR de Rennes d’une de ses œuvres. La muraliste développe un art du vivant réaliste rempli de finesse et d’émotions. Le regard des espèces animales qu’elle reproduit transperce le support sur lequel elles sont peintes pour toucher le public et l’interpeller sur une cause animale et la préservation du Vivant. Le vernissage a lieu en présence de l’artiste à 16h dimanche 9 mars 2025.

Infos pratiques : Le MUR de Rennes. 34 rue Vasselot.

https://www.unidivers.fr/rennes-melissa-follet-street-art/

Retrouvez tout l’agenda de vos sorties à Rennes ici :

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